Samedi
5 juillet, le temps est maussade. Nous restons au port de Digoin. Hier, nous
avions reçu un accueil froid et désagréable que de la part de la capitaine de
port. Si vous y passez, n’oubliez pas de vous présenter à elle sous peine de
vous faire traiter de malhonnête. En cherchant bien la capitainerie vous la
trouverez, sachez qu’elle a déménagé ! Nous profitons donc, de notre
branchement électrique pour mettre le blog à jour.
Dans l’après midi, le temps s’améliore et comme nous ne souhaitons pas passer une nuit de plus à Digoin, nous partons pour une courte navigation. Nous repassons le pont canal de Digoin et nous nous amarrons au bout.
Avec les restrictions d’eau, nous devons attendre le passage des 2 bateaux annoncés en aval.
Depuis le haut du pont, le décor est plutôt sympathique et les passants interrogateurs sur le fait de notre arrêt sur le pont canal.
Une courte navigation nous mène à la deuxième écluse du canal. Oh bonheur, c’est encore une écluse manuelle.
Nous y rencontrons un éclusier très agréable. C’est quand même plus convivial que les zappettes et tirettes…
Nous nous amarrons en aval de l’écluse pour la nuit.
Dans l’après midi, le temps s’améliore et comme nous ne souhaitons pas passer une nuit de plus à Digoin, nous partons pour une courte navigation. Nous repassons le pont canal de Digoin et nous nous amarrons au bout.
Avec les restrictions d’eau, nous devons attendre le passage des 2 bateaux annoncés en aval.
Depuis le haut du pont, le décor est plutôt sympathique et les passants interrogateurs sur le fait de notre arrêt sur le pont canal.
Une courte navigation nous mène à la deuxième écluse du canal. Oh bonheur, c’est encore une écluse manuelle.
Nous y rencontrons un éclusier très agréable. C’est quand même plus convivial que les zappettes et tirettes…
Nous nous amarrons en aval de l’écluse pour la nuit.
Dimanche, la pluie est de retour. Nous passons notre première écluse de la journée sous une pluie battante.
Heureusement, le soleil montre vite son nez et fait sécher les cirés.
Nous prenons le temps d’aller voir le dessous des ponts canaux, qui sont en général de belles constructions.
Amarrage pour déjeuner en amont de l’écluse et du pont canal de Besbre. Le temps se maintient, nous sortons même le barbecue.
Nous passons l’écluse avant d’aller jusqu’à l’abbaye de Sept-Fons.
Malheureusement, elle ne se visite pas, à moins d’être marcheur de Compostelle ou de vouloir assister à l’une des messes ouvertes au public. Nous continuons donc notre chemin.
Le temps se fait de plus en plus menaçant. Un ciel noir arrive doucement en suivant la Loire.
Vu la météo, nous décidons de nous arrêter à la halte de Beaulon, pas vraiment super comme décor avec tous les camping-caristes sur le quai. Sur la carte, il y a bien quelques commodités : eau, électricité, sanitaires, … . Ces commodités existent bien sur le terrain. Malheureusement, inaccessibles, parce qu’elles sont squattées par des plaisanciers, camping caristes et caravaniers bien installés pour la saison et peu partageurs. Le temps tourne à l’orage et la pluie fait son grand retour.
Lundi,
après les seaux tombés cette nuit, le temps est toujours bien gris. Nous
quittons Beaulon sans regret. 1 écluse et 2 km plus loin nous trouvons une petite halte
sympathique.
Si nous avions su, nous aurions continué un peu plus loin hier.
Nous nous arrêtons à Gailloux près d’un élevage de chèvres, malheureusement, il n’en reste que 3 au bord de l’eau. Par contre, le fromage lui est toujours à la vente.
L’après-midi, la navigation se fait toujours avec un ciel mitigé et une température plutôt fraîche. Les écluses sont propres, les abords du canal bien nettoyés, les haltes en sauvages sont nombreuses, … Il y a vraiment une amélioration du service aux plaisanciers.
Aux écluses, nous trouvons des tas d’herbes sorties du canal. Certains éclusiers du canal de Bourgogne devraient prendre exemple sur les éclusiers du canal Latéral à la Loire !
De plus, nous rencontrons des éclusiers charmants qui prennent à cœur leur métier. La pluie fait son retour.
Nous nous amarrons en aval de l’écluse de La Mothe sur un quai fraîchement tondu, pour y passer la nuit.
Claudine, une amie qui n’habite pas très loin vient boire le thé avec nous.
Si nous avions su, nous aurions continué un peu plus loin hier.
Nous nous arrêtons à Gailloux près d’un élevage de chèvres, malheureusement, il n’en reste que 3 au bord de l’eau. Par contre, le fromage lui est toujours à la vente.
L’après-midi, la navigation se fait toujours avec un ciel mitigé et une température plutôt fraîche. Les écluses sont propres, les abords du canal bien nettoyés, les haltes en sauvages sont nombreuses, … Il y a vraiment une amélioration du service aux plaisanciers.
Aux écluses, nous trouvons des tas d’herbes sorties du canal. Certains éclusiers du canal de Bourgogne devraient prendre exemple sur les éclusiers du canal Latéral à la Loire !
De plus, nous rencontrons des éclusiers charmants qui prennent à cœur leur métier. La pluie fait son retour.
Nous nous amarrons en aval de l’écluse de La Mothe sur un quai fraîchement tondu, pour y passer la nuit.
Claudine, une amie qui n’habite pas très loin vient boire le thé avec nous.
Mardi,
il y a bien quelques nuages mais il fait sec.
Océan-Manor passe l’écluse de Saulx, la fin du canal Latéral à la Loire pour nous.
Nous arrivons à Decize où nous descendons vers la Loire et le port de la Jonction.
Un magnifique port est en cours d’aménagement. Les installations nautiques sont terminées et elles sont superbes (eau, électricité, eaux-noires gasoil surveillance, … Tout ce que l’on peut imaginer pour un tarif tout à fait raisonnable !). Les abords du port sont en construction. De petites cabanes colorées, des gîtes, entourées d’eau bordent déjà le bassin. Une capitainerie et un restaurant sont aussi déjà installés. Nous recevons un accueil particulièrement agréable, cela donne envie d’y rester.
La ville de Decize ne manque pas de charme non plus. Nous repartons malgré tout en milieu d’après midi, vers le canal du Nivernais…
Nous profitons d’un relatif beau temps pour naviguer. Vu les prévisions météo, cela ne va pas durer ! Ici plus d’éclusier, il faut tirer sur une ficelle pour demander la bassinée.
La descente en Loire se fait rapidement.
Il y a de l’eau, si l’on suit bien le balisage, il n’y a aucun risque d’échouage.
L’entrée sur le Canal du Nivernais est un peu plus difficile. Il y a du fond mais beaucoup d’algues. La navigation est agréable.
Ici aussi, les écluses sont toutes manuelles. L’été, il y a des éclusiers ou des vacataires partout. Les écluses sont prêtes pour nous, Océan-Manor est attendu... , que rêver de mieux ?
Ici aussi, les quais sont accueillant et propre.
Encore un pont canal.
Et nous voilà déjà à l'écluse de garde de Cercy-la-Tour.
Nous nous trouvons une place sur le ponton de Cercy-la-Tour. Claudine et Roger viennent se joindre à nous pour la soirée. Repas fort agréable où la conversation tourne cette fois autour des chevaux.
Dans la région, il y a un essor important au niveau de la préparation de crack que l'on retrouve sur les hippodromes les plus cotés. Les prairies ne manquent pas pour l'élevage et les poulinières. Les haras se multiplient et dans les prés, de jolis chevaux côtoient les vaches.
Mercredi, il tombe des
seaux, vraiment pas un temps pour naviguer. Nous mettons à profit la journée
pour mettre le blog à jour et faire un peu d’administratif. Nous allons saluer
Sylvie, l’éclusière de Cercy qui nous donne quelques bons tuyaux sur son canal.
Une journée avec une météo pourrie avec une petite éclaircie qui nous permet malgré
tout, de monter en haut du village avant le retour de la pluie.Océan-Manor passe l’écluse de Saulx, la fin du canal Latéral à la Loire pour nous.
Nous arrivons à Decize où nous descendons vers la Loire et le port de la Jonction.
Un magnifique port est en cours d’aménagement. Les installations nautiques sont terminées et elles sont superbes (eau, électricité, eaux-noires gasoil surveillance, … Tout ce que l’on peut imaginer pour un tarif tout à fait raisonnable !). Les abords du port sont en construction. De petites cabanes colorées, des gîtes, entourées d’eau bordent déjà le bassin. Une capitainerie et un restaurant sont aussi déjà installés. Nous recevons un accueil particulièrement agréable, cela donne envie d’y rester.
La ville de Decize ne manque pas de charme non plus. Nous repartons malgré tout en milieu d’après midi, vers le canal du Nivernais…
Nous profitons d’un relatif beau temps pour naviguer. Vu les prévisions météo, cela ne va pas durer ! Ici plus d’éclusier, il faut tirer sur une ficelle pour demander la bassinée.
La descente en Loire se fait rapidement.
Il y a de l’eau, si l’on suit bien le balisage, il n’y a aucun risque d’échouage.
L’entrée sur le Canal du Nivernais est un peu plus difficile. Il y a du fond mais beaucoup d’algues. La navigation est agréable.
Ici aussi, les écluses sont toutes manuelles. L’été, il y a des éclusiers ou des vacataires partout. Les écluses sont prêtes pour nous, Océan-Manor est attendu... , que rêver de mieux ?
Ici aussi, les quais sont accueillant et propre.
Encore un pont canal.
Et nous voilà déjà à l'écluse de garde de Cercy-la-Tour.
Nous nous trouvons une place sur le ponton de Cercy-la-Tour. Claudine et Roger viennent se joindre à nous pour la soirée. Repas fort agréable où la conversation tourne cette fois autour des chevaux.
Dans la région, il y a un essor important au niveau de la préparation de crack que l'on retrouve sur les hippodromes les plus cotés. Les prairies ne manquent pas pour l'élevage et les poulinières. Les haras se multiplient et dans les prés, de jolis chevaux côtoient les vaches.
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